
« Après un 4ème album (éponyme, comme toujours) sublime mais difficile, on attendait le “Gab” au tournant… avec la crainte de ne plus retrouver la rock star bondissante d’autrefois : et le voilà, surgissant de la foule comme avant, maquillé comme si le souvenir de Genesis avait été totalement exorcisé, et conciliant enfin totalement ses deux extrêmes, le rocker de cuir noir et l’ange tout de blanc vêtu (ou plutôt le showman doué aux goûts spectaculaires, et le compositeur ambitieux…). Dire que ce concert fut beau est au-dessous...
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