
« Ce n’était pas du tout ainsi que sa musique ou ses pochettes de disques nous le faisait imaginer : loin d’être le bon petit Suisse calme et vaguement rondouillard, Stephan Eicher nous est apparu comme une sorte de gitan crispé et élastique lorsqu’il a déboulé sur la scène de la Cigale. Tout aussi surprenant, sinon plus, le fait qu’il a changé son fusil d’épaule et a abandonné l’intimisme solitaire qui a fait sa réputation : appuyé par un bassiste black swinguant et une dénommé Violon à la batterie, en plus des...
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