
« Voilà bien une soirée dont je n’attendais pas grand-chose : en 1988, avec leurs albums bien faits et vaguement fades qui n’intéressent plus grand monde, les Nits paraissent sur le déclin, surtout depuis le départ de M. Pieters, à lui seul moitié du groupe et responsable en particulier de cette atmosphère mi-baroque, mi-moderniste, vaguement hyper-réaliste et un peu ridicule qui était le principal charme du groupe il y a 4 ou 5 ans, au moment de l’apogée de sa célébrité en France…
Qui plus est, le New Morning, avec...
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