
« En ce moment, le meilleur du rock français vit dans la marge, l’alternative, la rébellion. Il conjugue fun et hardcore, anarchie et franche rigolade. Les Négresses Vertes sont des sortes de Pogues parisiens : la java a remplacé la gigue irlandaise, mais l’esprit – et le bon – est le même. Il est possible que, d’ailleurs, enjolivés par la mémoire, ces moments fastes d’un rock français marginal fassent oublier le grand vide du « rock officiel » de l’hexagone.
Les Woodentops, quant à eux, ont le malheur de ne...
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