
« En 1990, The House of Love est la meilleure expression du désespoir adolescent, à la fois romantique et rageur, et Guy Chadwick, malgré (ou à cause de) son physique peu avantageux, fait pleurer d’amour les minettes de 15 ans. A Southampton, c’est tout bonnement l’hystérie, ce qi ne manque pas de me surprendre, moi que le très beau et apaisant dernier album de The House OF Love pousse plutôt à la rêverie. Il faut avouer que ce soir, sur scène, on la joue plutôt speed et destroy, comme cette intro en montagnes russes sur un...
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