
« Dans les annales, et pour le meilleur comme pour le pire, 1990 restera l’année mancunienne : retour aux sixties, danse envers et contre tout. Inspiral Carpets n’a pas l’envergure des Stone Roses ou autres Happy Mondays, mais ne laissent pas indifférents pour autant : ritournelles accrocheuses sur orgue Farfisa estampillé 1967, rien de nouveau sous les sunlights et les stroboscopes psychédéliques, mais pourquoi faire la fine bouche ?
Sur scène, curieusement, l’attitude sérieuse et concentrée des musiciens et la...
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