
« Le moins que l’on puisse dire, c’est que les guitares heroes de 1991 n’ont pas vraiment fière allure. On peut pardonner à J. Mascis ses cheveux cachant perpétuellement son visage, sa vacuité intellectuelle (simulée ?) quasi surréaliste. Il est plus difficile d’ignorer le bavardage inutile auquel il se laisse aller sur sa guitare, gâchant son grand talent d’instrumentiste.
Que le hardcore n’ait été qu’un point de départ pour Dinosaur Jr., c’est dommage, mais c’est normal : on n’est donc que peu surpris par le premier...
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