
« S’enfonçant de plus en plus dans l’austérité et l’intégrisme, où Gedge se retrouve-t-il en 1991 ?
Son bras droit parti jouer du folklore ukrainien et remplacé par un guitariste lourdingue et moyennement inspiré, son public rétréci et vaguement déçu par le tempo résolument moyen des nouveaux titres, extraits d’un album, « Seamonsters » que tout le monde s’accorde à trouver peu convaincant (d’ailleurs, je ne l’ai pas acheté, moi…)…
Est-ce le son, moins fort qu’en Angleterre (une triste habitude en France, et...
[Lire la suite]