
« Le Festival des Inrocks, c'est à la fois une bénédiction et une plaie. Une bénédiction, parce qu'on peut y voir en une semaine à peu près tout ce que la planète rock compte de musiques importantes, ce qui est quand même un luxe inouï. Une malédiction, parce que cet enchaînement de sets trop courts chaque soir génère au final plus de frustration que de plaisir, et que l'alignement des nuits (qui commencent quand même trop tôt, en fin d'après-midi, et finissent toujours trop tard) mettent sérieusement en péril notre vie...
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