
« Je ne parlerai pas de la première partie – Lay Low – petit bout de femme à la guitare sèche et à la voix fluette, accompagnée par un autre guitariste acoustique : arrivé tard, vers 20 h 45, je n’aurai assisté qu’à trois chansons, qui m’auront d’ailleurs amplement suffi : ce n’est pas que cela soit mauvais, ce folk apatride (une autre Islandaise, a priori, mais il faut vérifier, qui joue de la musique américaine), c’est simplement terriblement insignifiant, sans saveur ni caractère – sauf si l’on considère la candeur...
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