Chris Isaak

“I never dreamed that I'd meet somebody like you /And I never dreamed that I knew somebody like you / No, I don't want to fall in love. (This world is only gonna break your heart) / With you. With you. / What a wicked game to play, to make me feel this way.” « Quand les paroles de Wicked Game (à mon avis l’une des plus belles chansons jamais écrites) résonnent au sein du silence absolu qui règne dans le Palacio de Congresos de Madrid, quand la voix intacte de Chris Isaak s’élève, avec cette pureté qui évoque celle de Roy... [Lire la suite]

" A Londres, Chris Isaak est nettement moins célèbre qu’à Paris, et le Town & Country Club est à demi-vide ce soir. Qu’importe ! Chris a toujours son costume à paillettes et pas mal de nouvelles histoires à nous raconter... Les chansons, elles, sont toujours un peu pareilles. Impossible néanmoins de me pas passer un bon moment en si bonne compagnie : la musique est sobrement efficace, la voix est parfaite, et l’humour omniprésent. Même si le décalage de Chris avec son époque semble de plus en plus flagrant : comme... [Lire la suite]

« “Ladies and Gentlemen, please welcome, from Stockton, California, Chris AÏSIK’s Silvertone !!!” / “Hiiii Hiii”, hurlent les minettes autour de nous… Chris Isaak a en fait déménagé et n’habite plus Stockton, et son Blue Hotel en a fait un chanteur populaire en France… Sur scène, les choses se déroulent néanmoins d’une manière tout-à-fait similaire à celle du concert de la saison dernière, avec une seule différence, mais de taille : les chansons sonnent plus rock, plus agressives, et il souffle même par instants une énergie,... [Lire la suite]

« Un simple concert tout ce qu’il y a de plus banal pour la nouvelle « légende du rock’n’roll », pour le successeur d’Elvis et de Roy Orbison à la fois – le look d’un héros, et le bagout d’un type qui a passé sa jeunesse à lire des bouquins et à rêver d’en écrire… Quelque chose pourrait presque se passer par instants, mais non ! Je me contenterai donc de trouver Chris Isaak sympathique, séduisant, drôle et… humide (surnommé « the human sprinkler » par la presse anglaise…). Un rendez-vous manqué au... [Lire la suite]