
« Nous sommes en plein dans les années « gay », et le rock se doit de prendre note, voire même d’être l’étendard de cette nouvelle révolution, comme il en a été tant de fois par le passé. Après Bronsky Beat et sa revendication de « l’Age of Consent », Jimmy Sommerville est revenu sous un nouveau nom, avec un nouvel acolyte, et nous a offert un album sublime, « Communards ». Logique donc d’être ce soir à l’Olympia, écrin parfait pour les incroyables ambitions musicales du duo…
Et c’est très bien, car...
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