
Bien qu’intéressé par les Têtes Raides depuis 1992 et la parution de leur album « les Oiseaux », qui contenait surtout un morceau fantastique, Gino, je n’ai jamais fait l’effort d’aller les voir sur scène, craignant une déception, du fait des racines « folkloriques françaises » de leur musique et la coloration néo-réaliste des textes (heureusement aussi largement surréalistes, pour compenser...), qui font toujours redouter une certaine beauferie. Mais après le sublime album « Le Bout du Toit »,...
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