
« Dans le froid de janvier et la boue du chapiteau glacial planté Porte de Pantin, j’ai pu assister au grand retour du grand Joe, l’homme qui vomit si bien sur le rock et sa culture après en avoir si bien joué. Bah, allez, ne soyons pas vindicatifs, Joe Jackson a tout pour lui : du talent, de l’humour, ce brin d’intransigeance qui lui va bien, un répertoire mi punk rock, mi jazz, un groupe tout aussi bâtard (le génial Graham Maby, seul survivant de la grande époque « Look Sharp » + quelques requins capables de...
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