
« Richard Hell, une légende vivante pour notre génération (néant) : celui qui a eu l’idée géniale des épingles à nourrice et des vêtements déchirés le tout repompé et sublimé par les Anglais…), celui qui a créé (pardon, co-créé) le merveilleux Little Johnny Jewell, celui qui a permis au punk-rock américain de ne pas mourir de honte face à l’inventivité, à l’énergie de la scène anglaise en 1977-1978. Surtout, surtout l’auteur de ce qui est sans doute pour moi le meilleur album du courant punk, ce « Blank...
[Lire la suite]